Gogyou no Tsuyoshi - Le passé reste le passé

Gogyou Tsuyoshi

Gogyou no Tsuyoshi - Le passé reste le passé Luxus_Render_2-1

Taille : 196 cm
Poids : 94 Kg

Age : 17 ans
Village : Kurasa
Rang :A vous de juger

Affinité(s) : Raiton
Spécialité(s) : Nintaijutsu

Code du Règlement : Validé par Scarlet Rain

Descriptions

Un jeune homme dévergondé, voilà comment décrire de façon brève notre Tsukuyoshi. Même si ceux-ci ne sont pas très courts, toujours dressés vers le haut, leur longueur ne gêne en aucun cas les mouvements du jeune ninja. La plupart du temps, son visage affiche un air sérieux, reflétant le dur passé dans lequel il a autrefois vécu. Ses iris d'un vert emeraude vous transperçeront sans relâche jusqu'à ce que vous soyez mort. La cicatrice ornant son oeil droit renforce l'aspect solitaire du Gogyou, aspect totalement faux. D'ordinaire plutôt calme et silencieux, il aime pourtant être entouré de gens qu'il apprecie. Par dessus ses oreilles est posé un casque dans lequel de la musique passe en boucle. Il faut néanmoins savoir qu'en cas de combat, celui-ci le retire afin de ne pas être perturbé. Plutôt grand, sa musculature reste impressionante pour un ninja de son âge. Ce qui est d'ailleurs normal étant donné sa spécialité. Appelez ça de la force brute, le Gogyou combine force et vitesse afin d'accabler l'ennemi de coups dévastateurs. Mais par dessus cette silhouette bien bâtie, celui-ci cache son corps avec une chemise violette à col ouvert. Un manteau brun est aussi généralement posé par dessus tout ça, renforçant son air mysterieux. Deux ceintures ornent alors cet accoutrement : L'une à la taille et l'autre plus haut afin de garder son veston fermé. Des jambes fermes et larges forment la continuité de son corps, cachées par un pantalon noir plutôt sobre. Enfin, le tatouage placé sur son pectoral gauche n'est là que par pur esthetisme.

L'analyse. Voilà pour lui par quoi tous les Shinobi devraient passé avant de se battre. Peu fragile, peu douillet, Tsuyoshi est une personnage plutôt calme et réflechis, attendant la plupart du temps de connaître son adversaire avant d'agir. Mais ne vous méprenez pas, il lui arrive aussi très souvent d'avoir des poussées de rages et des accès de colères si fortes qu'il cèdera immédiatement à ses pulsions les plus bestiales. En dehors de ça, il reste quelqu'un de très sympathique, n'hésitant pas à plaisanter lorsque l'ambiance s'y prête. Par dessus tout, le sarcasme est sûrement son plus grand point faible puisqu'à défaut d'être courtois avec les étrangers, il use énormement de blagues hautaines afin de leur faire comprendre qu'il est là. Son mot d'ordre ? « Le respect va dans les deux sens »

Histoire

Planté face aux montagnes rocheuses, un homme fixait l'horizon avec un regard des plus vides perdu dans les méandres de ce monde. Auparavant, le monde était plutôt calme. Aucune guerre n'était à prévoir même si certaines tensions subsistaient. Le chef du clan Gogyou, se tenait sur le toit d'un bâtiment, observant les alentours d'un oeil attentifs. Concentré sur une cible invisible qui le narguait, celui-ci sondait le paysage en oscillant sa tête de droite à gauche et de gauche à droite. Les sourcils fronçés, les paupières à moitié refermées, il tentait de se cacher de la lumière du soleil qui englobait la totalité du village. Les bâtiments avaient d'ailleurs été construits en conséquence : Leur couleur brun sablé permettait de renvoyer la chaleur que le soleil prodiguait et par conséquence de réduire un peu la température interne des bâtisses. Cette fois, le chapeau de Chef ne se trouvait pas fixé sur sa tête. Il se contentait d'arborer une veste tout à fait banale. N'importe qui aurait d'ailleurs pu facilement deviner que le dirigeant des Gogyou ne cherchait pas à être reconnu. Les bras croisés, il attendait patiemment une présence féminine qui arriva promptement. S'en suivit alors une étreinte des plus sincère accompagnée par diverses embrassades. Main dans la main, les deux individus ne se lâchèrent pas pendant plusieurs heures, exprimant leur amour mutuel de la manière la plus naturelle qui soit. C'est ainsi que fut conçu un enfant dans le village de Miruku parmi tant d'autres : Dans la passion, la lascivité et le plaisir.

Je t'aime.

Quelque jours plus tard, des vomissements répétés alertèrent la femme. Ayant l'habitude de se retrouver chaque semaine à la même heure au même endroit afin de mélanger leurs sentiments à leurs manières, les deux amants ne faillirent pas à la tradition la troisième semaine après cet incident. C'est alors que la jeune femme annonça la nouvelle au géniteur du futur enfant. Assis sur un rebord, son visage arborait plusieurs expressions différentes. Tout d'abord la joie, commune à la plupart des parents qui apprenaient qu'ils allaient avoir un enfant. Puis l'excitation ; celle de pouvoir poser son regard sur la chair de sa chair et de pouvoir le voir grandir. Mais une troisième émotion subsistait, plus sous la forme d'un rictus que d'une expression : L'inquiétude. Celle d'un père déjà marié. La tête dans ses mains, celui-ci ne trouva tout d'abord pas quels mots utilisés. Lui aussi avait à présent une nouvelle à annoncer. Son poste important et la bague qu'il portait au doigt l'empêchaient de pouvoir assumer un tel fardeau. La fille tomba alors à genou, pleurant toutes les larmes de son corps. Remontant sa capuche, son homme retourna alors dans son logis. Ce ne fut pas le refus d'avoir un enfant de la part de son amant qui avait fait fondre en larme la jeune femme mais le choix qu'il venait de faire. Pourquoi les gens se doivent-ils de détruire tout ce que les autre ont construits ? Pourquoi une telle situation, où il faut choisir entre la notoriété et l'amour, existe-t-elle ? Pourquoi moi ? Elle termina alors sa nuit sur le toit en question, s'assoupissant au milieu d'un torrent de douleur et de sanglots. Conforme à la tradition, elle continua à l'attendre chaque semaine. Lui ne revint plus aux rendez-vous qui suivirent. Jamais.

Pourquoi m'as-tu abandonnée ?

Ce fut donc neufs mois plus tard que pendant quelques secondes le chagrin de la jeune maman disparût. Oubliant cette douleur qui la hantait depuis des mois, cette boule qui chaque fois qu'elle pensait à son ancien amant la tordait de douleur, les traces de ses larmes qui chaque jour roulaient sur ses joues, elle tenait à présent dans ses bras un être ridiculement petit. Enveloppé dans une couverture d'un blanc pur, gigotant bras et jambes afin de se libérer de l'étreinte de sa mère, le nouveau-né ne pleurait pas, non. Il se contentait de fixer sa maman dans les yeux, fasciné par sa beauté. Pour la première fois depuis très longtemps, la jeune maman versa une larme. Pourtant la sensation était bien différente : Son visage n'exprimait ni haine, ni remords. Le visage de l'homme qu'elle avait connu s'effaça pendant un instant de ses souvenirs. Elle avait maintenant une nouvelle raison de vivre.

Au lieu d'avoir un papa et une maman, tu ne bénéficieras que de mon amour. C'est pourquoi il te faut être deux fois plus courageux que les autres, Tsuyoshi.

La première année de vie fut la plus difficile. Enchaînant deux travaux en même temps, la mère de Tsuyoshi n'avait que trop peu de temps à lui accorder. D'un côté elle travaillait de jour dans un restaurant en tant que serveuse et le soir elle bossait dans un casino comme croupière. Autant vous dire que même si financièrement celle-ci s'en sortait pas mal, elle ne voyait pas beaucoup son fils qui s'habitua vite à la présence de nounous dans la maison. Néanmoins, au bout d'environ un an de travail acharné, celle-ci put alors quitter un des deux travaux afin de consacrer un peu plus de temps à sa progéniture. Heureusement pour eux, la maison avait été hérité d'un membre de la famille décédé quelques années auparavant. Tsuyoshi fut alors élevé dans l'amour et la bienveillance durant ses dix premières années. Entré à l'académie à l'âge de huit ans, celui-ci n'était pas vraiment comme les autres étudiants. Grand, avec un physique plus qu'enviable, il misait énormement sur le Taijutsu.

Sans toi, je ne serai rien ...

Malgré les apparences, Tsuyoshi souffrait énormement de l'absence de son père. N'appréciant que trop peu de gens, il s'était entouré des personnes qui comptaient le plus à ses yeux. Aimant parler, jouer et s'entraîner avec lui, son comportement était tout autre avec les gens qui lui étaient étrangers. Parlant alors avec sarcasme, il provoquait la plupart du temps ses adversaires. Il n'aimait pas cacher ses origines. Au courant depuis plusieurs années de l'identité de son père, être le fils d'un Gogyou n'avait rien de désolant au coutraire. Même si son père restait un salaud, il espérait un jour atteindre le sommet et prouver à tous que le chef ne faisait pas le clan. Mais malgré cette façade qu'il tenait à afficher en publique, il rêvait en secret d'un jour rencontrer son géniteur afin qu'il lui raconte les vestiges de son clan. Seulement, cette quête ne pouvait se faire : Peu de temps après son douzième anniversaire, la mère de Tsuyoshi tomba malade. Vendant alors maisons et biens afin de lui trouver un traîtement efficace, rien n'y fit. Se retrouvant vite à la rue, l'état de celle-ci empira bien trop vite pour qu'un médecin puisse y faire quoi que ce soit. A son chevet jour et nuit, Tsuyoshi versa autant de larme que sa mère douze ans auparavant. Si ce n'est plus. Profitant de cette occasion pour lui en dire plus sur ses origines, celle-ci lui raconta comment elle avait connu son père. Membre du clan Miakusa, celui-ci s'était séparé au quatre coins du monde pour survivre à une guerre des plus sanglantes. Elle s'était alors réfugiée à Miruku où une famille l'accueilla les bras ouvert. Le père de Tsuyoshi en faisait partie. Le temps passa alors rapidement et les anecdotes s'enchaînèrent à un rythme effrainé. Puis un jour alors que le Gogyou dormait au bord du lit de sa maman admise à l'hôpital, un bip sonore continu venait lui annoncer la venue de la faucheuse. L'âme de sa mère éteinte à tout jamais, plus rien ne le liait à ce monde. Plus rien hormis une seule chose.

Deviens fort, mon fils. Deviens fort et ne m'oublie jamais.

Fait d'un caractère plutôt raisonnable, Tsuyoshi ne se lamenta pas sur son sort, au contraire. Fier d'arborer les origines de sa mère, il voulait à présent découvrir celles de son père. Deux ans passèrent alors sans contact humain. Enfermé chez lui, plus personne ne voulait ne serait-ce que lui adresser la parole. Enquêtant de son côté, hors des limites de sa conscience, celui-ci risqua plusieurs fois sa vie pour n'obtenir qu'une maigre information à propos de son paternel. Il ne lui fallut pas moins de trois mois pour apprendre que son père avait été un des chefs de ce village. Se présentant alors à la commission des héritages de Miruku, Tsuyoshi se présenta alors comme étant l'héritier direct de ce dernier. Sous les yeux ébahis des secrétaires et hauts fonctionnaires en tout genres, il put aisément prouver sa consanguinité avec l'ancien chef du village. Ayant voué une grande partie de sa vie à son héritage paternel, sa décéption fut immense lorsqu'il découvrit qu'un seul coffre de la taille d'une main renfermait absolument tous les secrets des Gogyou. Ce fut ensuite à l'abri des regards, bien terré chez lui que celui-ci ouvrit la fameuse boîte. Un seul parchemin gisait dans ce coffre-fort, avec un mot accompagnant le tout.

J'ai donné ma vie pour que tu puisses survivre. En dépit des apparences, je t'aime mon fils. Je t'aime et je t'ai toujours aimé.

Le coeur remonté, les larmes au bords des yeux, Tsuyoshi ne put que refermer le coffre, remerciant à voix basse le père qu'il n'aurait jamais l'occasion de connaître. Apparemment, le destin voulait aussi le faire disparaître. Peu de temps après, une attaque fut lancée contre le village. Rapide mais bien organisée, celle-ci avait pour but de tout simplement décimer les membres de cette contrée. D'un niveau plutôt faible, Tsuyoshi se contenta de fuir face à l'adversité. Il n'avait plus le choix : Il devait continuer à avancer sans se retourner. Coupant les ponts avec les vestiges du passé, c'est alors qu'il se réfugia dans un village récemment construit. S'entraînant alors chaque jour plus ardemment que la veille, arborant le blason des Gogyou, il gravit rapidement les échellons de la société jusqu'à devenir un ninja respecté. Ayant à présent dix-sept années derrière lui, Tsuyoshi pouvait souffler un peu. Une nouvelle équipe l'attendait et il était impatient de pouvoir cotoyer de nouveaux ninjas. Des cheveux d'un jaune foudre en bataille, son visage reflétait la dureté de son passé. Il arborait d'ailleurs une cicatrice en forme d'éclair sur le visage, signe d'un combat passé. Ressemblant à son père, il possédait néanmoins le charisme de sa mère. Un corps très musclé et bien dessiné, son regard vous analysera avant même que vous ayez eu le temps de le remarquer.

Mon monde était constitué de larmes et de sanglots. Les nuages cachaient le soleil et m'empêchaient d'avancer. Maintenant, tout ça fait partie de mon passé. A présent, je suis plus fort que jamais. Voulez-vous le vérifier ?

Messages : 51 Date d'inscription : 13/07/2012 Age : 34

Bien, alors je suis le premier à passer ( Ironiquement c'est aussi ma première pres évaluée... )

Bon Alors Bienvenue sur OnH, je sais on a dû te le dire assez souvent, mais une fois de plus n'est pas de refus, n'est-ce pas ^^.

Bien commençons cette Pres donc :

Les descriptions :

Elles sont courtes, trop courtes pour le rang Jonin expert que tu demandes ( oui dans le champ tu dis à nous devoir, mais le Nintaijutsu est réservé aux Jonin experts ^^' ). Quelques fautes par-ci par là, rien de bien méchant ; sauf une qui m'a méchamment agressée les n'yeux T-T)

L'histoire :

Alors, pour le Nintai, c'est la même appréciation que concernant les descriptions. Elle est trop courte, par endroit l'on ressent que de l'effort a été fait sur le Français, mais cela reste trop soft en terme purement explicatif [ En gros elle est trop épurée ]Je ne suis pas sur d'y avoir lus le nom de la mère de ton Perso, au niveau émotionnel l'on ne sent pas trop son vécu loin de sa mère avec des nounous, ce manque affectif qu'est-ce que cela a généré en lui ? Tu parles furtivement de ce qu'il ressen pour son père plus bas, mais pour la mère avec qui il a vécu hormis à la mort de cette dernière, l'on ne sait pas trop...

Ensuite l'on a quatre paragraphes sur les parents de ton perso, pour trois où tu parles 2/3 du temps de lui ( en gros on en sait pas beaucoup sur lui, ses hobby, sa passion, ses désirs, son style de combat, son nindo [ ouai ringard mais bon >< ]... ) ça manque un peu de profondeur en somme. Par contre, le point qui m'a le plus touché est que tu demandes le Nintai, mais dans ton histoire, hormis une petite parenthèse précisant que ton personnage s'oriente beaucoup vers le Taijutsu, nous n'avons rien sur la compétence que tu demandes. Hors pour définir son apprentissage, ya de la matière, ( même beaucoup trop...) j'ai trouvé cette absence plutôt dommage dans ta pres =/

Avis général :

Dans l'ensemble la fiche n'est pas mauvaise, mais reste insuffisante pour que je donne ma voix pour le Nintaijutsu. Des efforts ont été cependant fait et je pense qu'avec du travail cela évoluera dans le bon sens ^^.

Ce sera donc un Jonin de levl 5 pour moi .

Suite à l'avis de l'autre Staffeu qui passera s'en suivra l'appuy ou non de ma décision concernant ton appartenance au clan détenteur du Nintaijutsu

Avant tout bienvenu, histoire qu’il reste au moins un registre de ma bonne éducation xD

Je vais essayer de faire court, mais je ne promets rien, je suis une vraie pipelette et surtout j’aime décortiquer ma critique. Même si je vais m’attarder plus sur les défauts, ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas de bonne choses, juste qu’il est plus important pour toi de voir ce qui est mal, pour t’améliorer.

Description: Pour la description physique, on voit clairement que tu avais l'image de ton personnage bien en face des yeux et que tu ne faisais que le décrire. C'est ce que font la plupart des personnes, ce n'est pas une faute. Néanmoins, vu que tu es le seul à voir cette image (pour ceux qui ne connaisse pas), et bien on arrive que très mal voir pas du tout à imaginer ton personnage. Sauf le visage vu qu'il est sur ton vava.
Pour la description Psychologique, c'est vrai qu'elle est très courte et superflue. Les grandes lignes quoi!? On aurait aimé avec les petites lignes aussi. Bien que j'admets que certaines parties de cette description soit plutôt plaisantes.

Histoire: Alors, la première chose qui m'a frappé, c'est que tu ne connais pas bien l'intrigue. Le plus facile, si on ne veut pas lire toute l'intrigue ou qu'on ne comprend pas tout, c'est de lire au moins la chronologie. Si tu avais suivit la chronologie, tu ne serais pas entré à l'académie à l'âge de 8 ans, vu que les académies n’existaient pas.
Ensuite comme le dit Milena, tu racontes principalement la vie de tes parents, hors on ne veut pas leur histoire on veut la tienne.
*Aparté: On ne comprend pas pourquoi le chef de ton clan ne pourrait avoir d'enfant xD Le clan a besoin de se reproduire, le fils du chef (qui est censé être puissant) n'est pas le bienvenu O_o Explication, dirais-je!*
"commission des héritages de Miruku", je dois admettre que tu m'as tué là ^^
Autant tu as de jolies paragraphes comme celui de ta naissance, autant celui-là c'est du grand n'importe quoi xD Je ne veux pas être méchante, mais il n'existe aucune entité qui gèrent les clans, sauf ceux rallié à un village depuis leur construction. Comme pour devenir membre d'un clan, il faut:
1 - Un clan, ce que j'ai compris n'existait plus dans ton cas. Si oui, c'est pas l'impression que tu as donné (mais ne t'en fais pas, car ce point est indispensable pour le point 2 Wink

)
2 - Être accepté et reconnu par ce clan.
Je comprends la difficulté de raconter l'histoire du clan, car Sasurai n'a pas encore posté l'histoire du clan, mais ce n'est pas parce qu'il y a une place de libre, qu'il n'y a qu'un seul membre dans le clan.

On dénote aussi à plusieurs endroits des erreurs, aussi bien dans les descriptions comme l'histoire.

Après cette analyse, je ne concorde pas sur le niveau que Milena t'offre, moi je propose Chônin niveau 4, voir 5. Parce que tu n'écris pas si mal et tu te forces. Et sur certain paragraphe tu montres du talent.

Je vais donc te tirer un dé, car tu seras au moins Chônin, donc validé, mais tu devras attendre l'avis d'un autre membre du staff pour trancher.

Je donnerai mon avis dans la journée, c'est promis

Mais là je vais commencer le boulot donc je le ferai soit à midi soit durant une pause, donc, je réserve le troisième et dernier avis Very Happy

Edit: et j'ai décidé d'abaisser le rang nécessaire pour le NIntai: il y a aura une place pour le rang inférieur à Jounin expert, et une place pour le rang de Jounin sup ou grade spé je ne sais pas encore, ceci dans le but de laisser au moins un pouvoir assez puissant à des grade peu élevés. D'ailleurs, je vais voir pour faire de même dans les autres villages, car toutes les capacités assez puissantes sont réservées à des hauts gradés ce qui est dommage.

Bonjour et merci pour vos critiques Smile

Suivant l'avis de Sasurai, je vous demanderai (ou non) un test RP

Concernant ta question, Tsuki, le fils du Chef n'est pas "accepté" car il n'a pas été fait avec son épouse mais une de ses maîtresses, chose à mon avis peu favorable à l'intégration de celui-ci.

Oui cela explique bien la situation, néanmoins, même si j'avais compris que ton père n'était pas marié avec ta mére, je n'avais pas compris qu'il était marié á une autre femme.

Je te fais quand même le lancé de dé pour que tu puisses commencer à penser à ta FT:

Bonsoir,

Je choisis donc la voie de Chûnin Smile

Merci encore !

Tsu'.

Validé Chounin niveau 3, tu peux aller faire ton recensement !

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